11/07/2014
6/07/2014
3/27/2014
6/13/2010
Un Eco Village d'Artistes à Bordeaux
Pour un Eco Village d'Artistes
Projet soutenu par la commission Bâtir se Bâtir
Representation et mise en valeur de l'identité autonome de chaque participant, dans un projet de forme urbaine globale.
Représentation de sa créativité dans la ville par l'identité et la personnalisation de son logement et la résidence de son lieu de travail.
Lieu lié à la Garonne, au patrimoine et à la culture
Par un budget globalisant, en cohérence avec son fonctionnement créatif.
Vivier de création et relations humaines et professionnelles
1/18/2010
Pour Vivre à l'air libre, article Journal Sud Ouest
Lundi 11 Janvier 2010
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MA VILLE.
Arielle Schill, architecte, urbaniste, a grandi avec l'apparition du tramway
Pour vivre à l'air libre
Schill à la Bastide : « La rive droite, où tout est encore possible, peut inventer ce Bordeaux à vivre ».(photo: Philippe Taris)
"J'ai toujours eu l'appétit de la ville. À Clermont-Ferrand où je suis née, j'étais fascinée par la modernité et la recherche de la connaissance. J'y suis restée jusqu'à l'âge de 27 ans en pensant qu'elle n'avait pas d'attrait. Voilà une cité, toujours propre, qui a été détruite. Ce qui n'est pas le cas de Bordeaux, certes endormie, mais intacte dans la naphtaline. Lorsque je suis arrivée ici, j'ai découvert un ensemble dans son jus, la subtilité des tons et des intérieurs, des lignes étonnantes, comme si le travail des bâtisseurs avait été au service du paysage, ces hauteurs et ces habillements, un théâtre chargé d'histoire, totalement nouveau pour moi. J'étais dans un univers sombre, avec des poubelles dans la rue, quelque chose du Moyen âge, où tout semblait à faire. Je suis tombée amoureuse d'un appartement du XVIIIe et en même temps de cette intelligence particulière. Je n'avais pas les codes. Je me suis sentie rejetée au début. On m'avait expliqué que c'était comparable à Lyon et qu'il fallait environ quatre ans pour se faire des amis. J'ai mis du temps à comprendre le fonctionnement du lieu, qui ressemble à une alliance entre le business et le plaisir. J'ai compris un mariage de terre et d'eau, une histoire de marins, une ouverture d'esprit venue de tous les horizons.
La frénésie d'avant le tram
C'est Domofrance, avec Jean-Luc Hoguet, qui m'a donné mon premier chantier de rénovation à Saint-Michel. Le décor m'a prise et m'a révélée. J'ai revendiqué une appartenance. J'ai voulu saisir les acteurs, en suivant avidement la politique architecturale. J'ai eu cette ambition de savoir ce qu'était la maison de la famille au début du XXIe siècle. J'ai souvent beaucoup appris à Arc-en-rêve, un vivier de recherches et de connaissances que Bordeaux a la chance d'avoir dans ses murs. Je me suis construite en même temps que la ville nouvelle. En 1996, nous étions dans une ruche. On entendait les gens tailler et réparer la pierre. Les artisans s'affairaient partout. Cela devait être comme ça au XVIIIe, un chantier permanent. Nous vivions une sorte d'ouverture architecturale, de carte blanche. Moi j'ai voulu transposer le XVIIIe sur la construction d'aujourd'hui. Dans cette frénésie d'avant l'arrivée du tram, beaucoup ont d'abord gagné de l'argent. En fait, pendant dix ans je n'ai cessé de photographier la ville qui sortait du cocon. Je l'ai vu naître, en continuant de réfléchir sur la façon de l'habiter aujourd'hui.
La fin du chantier, hélas, a été intenable. Ce fut une rupture entre la période où l'on pouvait tout faire et cette entité nouvelle. Il y a eu une crispation autour d'InCité, missionné dans le centre historique autour du renouvellement de l'habitat. Après dix années de liberté, j'en ai eu assez de ce non-fonctionnement.
J'ai choisi de vivre à Langoiran où j'ai trouvé la paix. J'ai un rapport à la nature et à l'espace. Je suis contemplative. Et je considère que Langoiran est un quartier de Bordeaux dans les vignes. Je réfléchis ici à ce décor où l'homme renoue avec la terre, lui-même et les autres. Aujourd'hui, je reviendrai bien sur la rive droite, mais pas au centre.
Il ne faut évidemment pas toucher à la rive gauche. C'est Florence. Pour toujours. Elle est très belle à regarder et en même temps trop contrainte. Cette ville m'a fait grandir. J'ai maintenant envie de lui redonner ce qu'elle m'a offert. Bordeaux c'est ça : une enveloppe magnifique qui structure, et, aux interstices, un grand patrimoine humain, le fruit d'une culture locale, séculaire, de rencontres. Elle est riche de personnes et j'ai envie de les mettre en lumière. Je crois que la valeur ajoutée de la rive droite est humaine justement, culturelle, artistique, faute de quoi nous serons confrontés à l'échec de la ville-dortoir.
Le village des artistes
Nous avons créé une commission de réflexion « Bâtir pour se bâtir » qui rassemble des gens d'horizons différents. Nous réfléchissons à la création d'un écovillage d'artistes, à créer sur l'agglomération. Il ne s'agit pas d'un village pittoresque, mais de l'outil d'une autre façon de vivre. Je crois beaucoup à ce projet d'envergure, peut-être d'une centaine de logements. J'espère une vie nouvelle d'échanges, avec des appartements individualisés à proximité d'un peu de nature.
L'éco-ville c'est aussi une attitude différente des habitants, un autre visage, plus détendu, de la citoyenneté, dans un espace où l'on ne passe pas son temps à courir les restaurants et les cinémas. On doit pouvoir retrouver une liberté de mouvement, une autre respiration. La Bastide, où tout est encore possible, peut inventer ce Bordeaux à vivre. »
c.seguin@sudouest.com
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MA VILLE.
Arielle Schill, architecte, urbaniste, a grandi avec l'apparition du tramway
Pour vivre à l'air libre
Schill à la Bastide : « La rive droite, où tout est encore possible, peut inventer ce Bordeaux à vivre ».(photo: Philippe Taris)
"J'ai toujours eu l'appétit de la ville. À Clermont-Ferrand où je suis née, j'étais fascinée par la modernité et la recherche de la connaissance. J'y suis restée jusqu'à l'âge de 27 ans en pensant qu'elle n'avait pas d'attrait. Voilà une cité, toujours propre, qui a été détruite. Ce qui n'est pas le cas de Bordeaux, certes endormie, mais intacte dans la naphtaline. Lorsque je suis arrivée ici, j'ai découvert un ensemble dans son jus, la subtilité des tons et des intérieurs, des lignes étonnantes, comme si le travail des bâtisseurs avait été au service du paysage, ces hauteurs et ces habillements, un théâtre chargé d'histoire, totalement nouveau pour moi. J'étais dans un univers sombre, avec des poubelles dans la rue, quelque chose du Moyen âge, où tout semblait à faire. Je suis tombée amoureuse d'un appartement du XVIIIe et en même temps de cette intelligence particulière. Je n'avais pas les codes. Je me suis sentie rejetée au début. On m'avait expliqué que c'était comparable à Lyon et qu'il fallait environ quatre ans pour se faire des amis. J'ai mis du temps à comprendre le fonctionnement du lieu, qui ressemble à une alliance entre le business et le plaisir. J'ai compris un mariage de terre et d'eau, une histoire de marins, une ouverture d'esprit venue de tous les horizons.
La frénésie d'avant le tram
C'est Domofrance, avec Jean-Luc Hoguet, qui m'a donné mon premier chantier de rénovation à Saint-Michel. Le décor m'a prise et m'a révélée. J'ai revendiqué une appartenance. J'ai voulu saisir les acteurs, en suivant avidement la politique architecturale. J'ai eu cette ambition de savoir ce qu'était la maison de la famille au début du XXIe siècle. J'ai souvent beaucoup appris à Arc-en-rêve, un vivier de recherches et de connaissances que Bordeaux a la chance d'avoir dans ses murs. Je me suis construite en même temps que la ville nouvelle. En 1996, nous étions dans une ruche. On entendait les gens tailler et réparer la pierre. Les artisans s'affairaient partout. Cela devait être comme ça au XVIIIe, un chantier permanent. Nous vivions une sorte d'ouverture architecturale, de carte blanche. Moi j'ai voulu transposer le XVIIIe sur la construction d'aujourd'hui. Dans cette frénésie d'avant l'arrivée du tram, beaucoup ont d'abord gagné de l'argent. En fait, pendant dix ans je n'ai cessé de photographier la ville qui sortait du cocon. Je l'ai vu naître, en continuant de réfléchir sur la façon de l'habiter aujourd'hui.
La fin du chantier, hélas, a été intenable. Ce fut une rupture entre la période où l'on pouvait tout faire et cette entité nouvelle. Il y a eu une crispation autour d'InCité, missionné dans le centre historique autour du renouvellement de l'habitat. Après dix années de liberté, j'en ai eu assez de ce non-fonctionnement.
J'ai choisi de vivre à Langoiran où j'ai trouvé la paix. J'ai un rapport à la nature et à l'espace. Je suis contemplative. Et je considère que Langoiran est un quartier de Bordeaux dans les vignes. Je réfléchis ici à ce décor où l'homme renoue avec la terre, lui-même et les autres. Aujourd'hui, je reviendrai bien sur la rive droite, mais pas au centre.
Il ne faut évidemment pas toucher à la rive gauche. C'est Florence. Pour toujours. Elle est très belle à regarder et en même temps trop contrainte. Cette ville m'a fait grandir. J'ai maintenant envie de lui redonner ce qu'elle m'a offert. Bordeaux c'est ça : une enveloppe magnifique qui structure, et, aux interstices, un grand patrimoine humain, le fruit d'une culture locale, séculaire, de rencontres. Elle est riche de personnes et j'ai envie de les mettre en lumière. Je crois que la valeur ajoutée de la rive droite est humaine justement, culturelle, artistique, faute de quoi nous serons confrontés à l'échec de la ville-dortoir.
Le village des artistes
Nous avons créé une commission de réflexion « Bâtir pour se bâtir » qui rassemble des gens d'horizons différents. Nous réfléchissons à la création d'un écovillage d'artistes, à créer sur l'agglomération. Il ne s'agit pas d'un village pittoresque, mais de l'outil d'une autre façon de vivre. Je crois beaucoup à ce projet d'envergure, peut-être d'une centaine de logements. J'espère une vie nouvelle d'échanges, avec des appartements individualisés à proximité d'un peu de nature.
L'éco-ville c'est aussi une attitude différente des habitants, un autre visage, plus détendu, de la citoyenneté, dans un espace où l'on ne passe pas son temps à courir les restaurants et les cinémas. On doit pouvoir retrouver une liberté de mouvement, une autre respiration. La Bastide, où tout est encore possible, peut inventer ce Bordeaux à vivre. »
c.seguin@sudouest.com
9/25/2009
Librairie MOLLAT 17H le 7 octobre Arielle Schill "Architecture vivante"
"Architecture Vivante"
Il faut surtout voter en ligne pour soutenir 'elle et l'art' récompensé par le prix Opline
Programme Mollat thématique 2009
Programme du 1er au 8 octobre 2009
Lys Reygor
Tous les jours à 13h et à 17 h des rencontres seront organisées : vidéos, performances, musique, danse, lecture…
Jeudi 1er octobre
13h Ouverture de la manifestation, vernissage Presse, VIP
Présentations des structures : Groupe Passerelle, AEC, Atelier 29 …
Présentations du prix OPLINE par le Président Marcel Desvergnes
En présence de Corinne Crabos, Geneviève Andueza,, Brigitte Beau, Marie laure Hubert Nasser …
Catalogue du prix OPLINE
Diaporama du prix OPLINE
Moment d’opéra a capella avec les sopranos: Wassylla Boujana, Amandine
Christmann, Laurane Latreille, Aurélie Ligérot.
17h Vidéos Frédérique Plénard, réalisateur.
Captage de Sylvie Brunet et Heidi Melton (Américaine) pendant Tannhäuser
Expositions de : Sophie Meier « Cosyworks », du 21septembre au 10 octobre.
Michèle Robine, le « CHE », du 21septembre au 10 octobre.
Vendredi 2 octobre
13 h Rencontre avec Isabelle Juppé
17h Performance Lys Reygor (chanteuse plasticienne) «Lys & le zombie zoo» et Patrick Scarzello (musicien)
vernissage dans les galeries (soirées nomades)
Samedi 3 octobre
13h Imperformance de Katia Leroi Godet
17h Flamenco « Copas y Compas », avec Cecilia Gonzalez (danseuse) Evelyne Gonzalez (chanteuse)
vernissage dans les galeries (soirées nomades)
Dimanche 4 octobre
Bus de l’art contemporain
Visite des galeries
Lundi 5 octobre
13h Videos Claude Yvans, « Ma nuit Opendoors » , « Femme y-es-tu »
17h Vidéos, " Taille humaine " Michèle Robine
Mardi 6 octobre
13h Rencontre avec Annelise Roux dans l'Espace Bx Arts de chez Mollat pour une lecture de mon livre, "La Solitude de la fleur blanche" (Sabine WESPIESER Editeur) avec le rappeur Stervos
17h Faïza Kaddour (lecture, théatre)
Mercredi 7 octobre
13h Rencontre avec des femmes dans le milieu du vin et de l’art
Château Lynchbages avec Mme Cazes.
Château Smith Haut Lafitte avec Mme Cathiard.
Château Bourgneuf avec Mme Vayron
17h Arielle SCHILL architecte «Architectures vivantes»
Jeudi 8 octobre
13h Rencontre avec femme galeriste, Nathalie Lamire Fabre, Marie-Christine Dulucq, Nadia Russell, Ilka Maria Bree, Anne-Karine Péret, Espace29, Jeanne Rooryck, Marie-Christine Rosema, Anne Gaëlle Coomber
17h Remise du prix
Le prix sera remis à la Mairie de Bordeaux par Monsieur Alain JuppéUn dîner avec les artistes et leurs amis aura lieu le jeudi 8 octobre au Café des Arts, avec une performance de Diane Bonnot.
Programme du 1er au 8 octobre 2009
Lys Reygor
Tous les jours à 13h et à 17 h des rencontres seront organisées : vidéos, performances, musique, danse, lecture…
Jeudi 1er octobre
13h Ouverture de la manifestation, vernissage Presse, VIP
Présentations des structures : Groupe Passerelle, AEC, Atelier 29 …
Présentations du prix OPLINE par le Président Marcel Desvergnes
En présence de Corinne Crabos, Geneviève Andueza,, Brigitte Beau, Marie laure Hubert Nasser …
Catalogue du prix OPLINE
Diaporama du prix OPLINE
Moment d’opéra a capella avec les sopranos: Wassylla Boujana, Amandine
Christmann, Laurane Latreille, Aurélie Ligérot.
17h Vidéos Frédérique Plénard, réalisateur.
Captage de Sylvie Brunet et Heidi Melton (Américaine) pendant Tannhäuser
Expositions de : Sophie Meier « Cosyworks », du 21septembre au 10 octobre.
Michèle Robine, le « CHE », du 21septembre au 10 octobre.
Vendredi 2 octobre
13 h Rencontre avec Isabelle Juppé
17h Performance Lys Reygor (chanteuse plasticienne) «Lys & le zombie zoo» et Patrick Scarzello (musicien)
vernissage dans les galeries (soirées nomades)
Samedi 3 octobre
13h Imperformance de Katia Leroi Godet
17h Flamenco « Copas y Compas », avec Cecilia Gonzalez (danseuse) Evelyne Gonzalez (chanteuse)
vernissage dans les galeries (soirées nomades)
Dimanche 4 octobre
Bus de l’art contemporain
Visite des galeries
Lundi 5 octobre
13h Videos Claude Yvans, « Ma nuit Opendoors » , « Femme y-es-tu »
17h Vidéos, " Taille humaine " Michèle Robine
Mardi 6 octobre
13h Rencontre avec Annelise Roux dans l'Espace Bx Arts de chez Mollat pour une lecture de mon livre, "La Solitude de la fleur blanche" (Sabine WESPIESER Editeur) avec le rappeur Stervos
17h Faïza Kaddour (lecture, théatre)
Mercredi 7 octobre
13h Rencontre avec des femmes dans le milieu du vin et de l’art
Château Lynchbages avec Mme Cazes.
Château Smith Haut Lafitte avec Mme Cathiard.
Château Bourgneuf avec Mme Vayron
17h Arielle SCHILL architecte «Architectures vivantes»
Jeudi 8 octobre
13h Rencontre avec femme galeriste, Nathalie Lamire Fabre, Marie-Christine Dulucq, Nadia Russell, Ilka Maria Bree, Anne-Karine Péret, Espace29, Jeanne Rooryck, Marie-Christine Rosema, Anne Gaëlle Coomber
17h Remise du prix
Le prix sera remis à la Mairie de Bordeaux par Monsieur Alain JuppéUn dîner avec les artistes et leurs amis aura lieu le jeudi 8 octobre au Café des Arts, avec une performance de Diane Bonnot.
9/05/2009
Elle et l'art
Elle et l’art
La création contemporaine vue par les femmes
Arielle Schill Architecte exerce en libéral
« Architecture vivante »
…ses intentions artistiques formalisent une expression, dans la matière, le mouvement et l’espace
où s’écrivent ces temps.
Devant le fleuve, ‘Entre Deux Mers’ - Océan et Méditerranée -, de ses histoires, de ses cultures,
du sensible et de la réflexion, chaque instant crée de nouvelles rencontres et les formes - intentions fortes ou ‘déjà là’- se bâtissent : structurantes ou éphémères, ancrées ou en mouvement, esthétique ou poétique …
De l’intime jusque la grande échelle urbaine, par le bâti et son mode de construction, ‘l’espace met en art’ la création de son lieu à vivre, pour s’y inscrire et « se bâtir ».
Arielle
Langoiran Août 2009
Contact + 33 (0)6 62 23 96 71 ari-s@wanadoo.fr www.arielleschill.blogspot.com
Une conception de volumétrie géométrie inspirée par le réemploi de matériaux rationnalisés traditionnels. L'extension poursuit les idées d'origine de la Marina de Talaris: mode de vie en adéquation avec la nature - notamment par sa toiture végétalisée, un bardage scié en essence local, des menuiseries façonnées artisanalement - elle communique avec la maison par le patio et une passerelle crée à l'étage.
8/04/2009
5/15/2009
5/14/2009
2/17/2009
12/10/2007
Construction en bois dans le village de l'herbe
Construction en bois
Le cabanon Traditionnel l’écriture et ses détails complète naturellement l’interstice juste au pied de la dune en suivant l’hôtel de la plage…
2007 Dune de L’Herbe Cap Ferret
Construction d’un cabanon en bois
Extension réalisée dans le village sauvegardé ostréicole
En association avec Michel TROULAY Design Stuff
Création Arielle SCHILL.
Le cabanon Traditionnel l’écriture et ses détails complète naturellement l’interstice juste au pied de la dune en suivant l’hôtel de la plage…
2007 Dune de L’Herbe Cap Ferret
Construction d’un cabanon en bois
Extension réalisée dans le village sauvegardé ostréicole
En association avec Michel TROULAY Design Stuff
Création Arielle SCHILL.
Contact: ari-s@wanadoo.fr
06 62 23 96 71
Agencement d'un Appartement de Bordeaux
Transformation des anciennes cuisines d'un Hôtel Particulier18e s par
rue Renière 3eme étage Gauche à BORDEAUX
Livraison 2007 Arielle SCHILL architecte
rue Renière 3eme étage Gauche à BORDEAUX
Livraison 2007 Arielle SCHILL architecte
Contact: ari-s@wanadoo.fr
06 62 23 96 71
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